BNDMR : les huit premiers CHU connectés et l’avancée du projet

Depuis le 22 mai, les utilisateurs de tous les sites maladies rares des CHU de Toulouse, Dijon, Nantes, Orléans et de l’hôpital Lariboisière de l’APHP ont la possibilité de s’inscrire à l’application BaMaRa pour effectuer le recueil des données de leurs patients maladies rares.

Cela porte le nombre de sites déployés en mode autonome (saisie de données via l’application BaMaRa) à 462, soit 21% de l’ensemble des sites maladies rares labellisés fin 2017.

Aussi, depuis le 16 avril, les utilisateurs de tous les sites maladies rares des CHU de Rouen, Reims et Tours peuvent s’inscrire à l’application BaMaRa pour effectuer le recueil des données de leurs patients maladies rares. Ces CHU, avec l’hôpital Saint-Louis de l’AP-HP, ont été les premiers à bénéficier de ce déploiement généralisé au sein d’un établissement.

Le déploiement des hôpitaux prévus en juin (CHU de Bordeaux, de Montpellier et de La Réunion, ainsi que l’HEGP) a été décalé. Le volume de données à corriger au niveau de CEMARA motive cette décision, ainsi que la nécessité de corriger les quelques bugs identifiés dans l’application (en particulier les exports) avant d’ouvrir à plus d’utilisateurs.

la BNDMR va donc les déployer la première semaine de juillet, en même temps que les hôpitaux prévus en juillet (CHU de Limoges, de Caen et de Nîmes). Les accès à CEMARA en écriture pour les centres de ces hôpitaux seront coupés le 25 juin à midi.

Afin de suivre en temps réel de la progression de BaMaRa au sein des différents établissements, un tableau est disponible sur le site de la BNDMR.

Il présente l’état d’avancement de l’envoi des conventions relatives à BaMaRa ainsi que le mode de déploiement privilégié par l’établissement et le calendrier prévisionnel associé.

Pour relire les informations concernant les différents modes d’utilisation de BaMaRa, rendez-vous sur l’article de février.

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